L’idée de base : partir des besoins français en énergie pour élaborer une stratégie de l’offre à long terme, réduisant notre dépendance aux énergies fossiles, qui se raréfient, et limitant les émissions de gaz à effet de serre.
Ce point de départ fait l’originalité de la démarche car elle replace l’humain au centre de l’économie. «Personne n’a besoin d’énergie en elle-même, affirme le président et porte-parole de l’association, Thierry Salomon. Nous avons besoin de services. Et ce sont eux qui nécessitent plus ou moins d’énergie.»
Après 14 mois de travail, le plus souvent bénévole, l’équipe a rendu son verdict : il est possible d’assurer à confort égal les besoins des Français en 2050 en réduisant les émissions de gaz à effet de serre d’un facteur 16. La première étape consiste à réduire la demande en énergie primaire de 65 % par rapport à 2010.
Dans le bâtiment, une politique volontariste permettrait de rénover thermiquement 1 million d’unités par an dès 2020. D’après le scénario, en réduisant d’abord la précarité énergétique, il devient possible de mettre en place une fiscalité énergétique, comme une contribution sur les énergies primaires fossiles, modulée par les externalités négatives.
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Lire l'article complet, publié dans la revue ENERGIE PLUS n°474 du 1er novembre 2011
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